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Coupe du Monde 2030 : Des entreprises de renom pour mener à bien une série d’études pour la future ligne à grande vitesse

Des entreprises de renom, sur le plan national et international dans le domaine du transport ferroviaire, ont été désignées pour mener à bien une série d’études techniques, d’ingénierie, d’aménagement et d’infrastructures pour la future ligne à grande vitesse reliant les villes de Casablanca, Marrakech et Agadir, indique-t-on dans le site électronique Hespress.

Au niveau national, le Laboratoire Public d’Essais et d’Études (LPEE) a été sélectionné pour conduire les études géologiques, hydrogéologiques et géotechniques relatives aux sondages préliminaires, aux infrastructures publiques, aux installations techniques, ainsi qu’aux tunnels, précise le site francophone.

À l’échelle internationale, la société chinoise China Railway Design Corporation (CRDC) a également été retenue pour effectuer les premières études relatives aux infrastructures, au génie civil, aux équipements ferroviaires et au système d’exploitation ferroviaire, souligne la même source, notant que la société d’études techniques française Egis Rail a été désignée pour superviser les études liées aux infrastructures, au génie civil, aux installations techniques, aux tunnels et à l’exploitation.

Ces partenariats internationaux reflètent l’ambition du Maroc de créer une infrastructure ferroviaire moderne et de classe mondiale, prête à accueillir un événement aussi prestigieux que la Coupe du Monde 2030.

La directrice de l’Assemblée générale du Conseil économique Maroc-Espagne (CEMAES), Houda Bneghazi, a précédemment estimé qu’il existe « de grandes opportunités de coopération bilatérale entre le Maroc et l’Espagne dans le secteur de transport et d’infrastructures avant la Coupe du monde 2030« , rappelle-t-on.

Et de relever que le protocole d’accord prévoit la coopération dans le domaine du développement de l’infrastructure ferroviaire, de l’entretien des trains et des wagons, de la conception d’ateliers, de la formation du personnel ferroviaire et de la mise en œuvre et de l’exploitation de systèmes de gestion du trafic ferroviaire. Le Maroc compte investir près de 35 milliards d’euros jusqu’en 2040 pour pouvoir lancer 1.100 kilomètres de ligne à grande vitesse.

 

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