Bank Al-Maghrib, l’Université Cadi Ayyad de Marrakech (Le Laboratoire de Recherche en Innovation, Responsabilités et Développement Durable – INREDD) et Bernoulli Center for Economics (BCE) de l’Université de Bâle, en collaboration avec le Conseil Régional de Dakhla Oued Eddahab, ont lancé, mardi, un appel à contribution aux Journées Internationales de Macroéconomie et de Finance (JIMF), prévues du 22 au 24 mai 2024 à Dakhla.
“La date limite de la soumission du texte intégral des communications est le 24 mars 2024. Les auteurs intéressés sont priés d’envoyer leurs papiers sous format électronique à l’adresse ([email protected]). Les auteurs des articles soumis seront informés de la décision du comité scientifique des JIMF avant le 5 avril 2024. Les communications peuvent être présentées en français ou en anglais. Les papiers retenus seront diffusés sur le portail Internet de la conférence”, expliquent les organisateurs dans cet appel à communications.
Les propositions de communications devraient concerner les domaines de la macroéconomie et de la finance. Seront considérés à la fois les papiers empiriques et théoriques.
Une préférence particulière sera accordée, lors de cette édition, aux communications portant sur le thème “Intégration économique en Afrique : la voie vers un avenir plus prospère” avec la formulation de recommandations claires.
Le choix de ce thème vise à explorer les enjeux et les opportunités de l’intégration économique en Afrique. Le but est de susciter le débat sur ce sujet et de formuler des recommandations visant à renforcer davantage cette intégration tout en favorisant la prospérité et le développement durable et inclusif du continent.
Les principales thématiques qui seront abordées sont notamment les opportunités et les défis de l’intégration économique de l’Afrique, les opportunités et les challenges de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), les expériences internationales d’intégration économique et les technologies, la recherche et l’innovation en tant que leviers de l’intégration en Afrique.
Il s’agit aussi du développement territorial et l’intégration économique africaine, des contributions aux chaines de valeur régionales et mondiales, du développement et la mutualisation des infrastructures régionales, des enjeux du changement climatique liés à l’intégration économique, de l’industrialisation et le rôle du secteur privé, de l’intégration financière et le développement des systèmes et moyens de paiement et de la sécurité alimentaire et énergétique régionale.
Le but de ces journées est de promouvoir un échange constructif entre chercheurs et décideurs et de formuler des recommandations aux questions critiques en matière de politiques économiques.