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Cet ajustement fiscal devrait générer des recettes supplémentaires pour le budget de l’État, qui a été mis à rude épreuve en raison des récentes crises mondiales.
Dans le cadre de son plan 2024 et à la recherche d’une formule pour atténuer les retombées de la guerre en Ukraine et d’autres crises mondiales en cours, le gouvernement marocain envisage d’augmenter les taxes sur les boissons alcoolisées. Cette augmentation fiscale concerne la consommation intérieure de vin, de bière et de boissons spiritueuses, indiquent des rapports convergents.
Le projet de loi de finances 2024 vise à renforcer le paysage financier du pays, révélant un changement significatif dans la fiscalité des boissons alcoolisées.
Le changement proposé intervient alors que le Maroc cherche à relever des défis économiques urgents, notamment les déficits budgétaires et la demande accrue de ressources publiques.
Le projet de loi, actuellement en cours d’examen, vise à augmenter la taxe intérieure sur la consommation appliquée au vin, à la bière et aux spiritueux. Bien que les chiffres précis n’aient pas encore été divulgués, cette décision devrait entraîner une hausse des prix de ces boissons alcoolisées.
Cet ajustement fiscal devrait générer des recettes supplémentaires pour le budget de l’État, qui a été mis à rude épreuve en raison de l’impact économique de la pandémie mondiale et de la guerre russo-ukrainienne.
Le Trésor marocain prévoit de collecter cette année 14,5 milliards de dirhams (1,3 milliard de dollars) en taxes sur l’alcool et les cigarettes, soit une augmentation d’environ 1 milliard de dirhams (92 millions de dollars) par rapport à l’année dernière. Selon certaines sources, cette augmentation des revenus de l’État est associée à une augmentation notable du nombre de consommateurs d’alcool dans le pays.
Alors que la consommation d’alcool reste un tabou social au Maroc en raison de croyances religieuses, le pays est le deuxième exportateur de vin d’Afrique et l’un des marchés de consommation en croissance dans la région.
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